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Face à la perte d’autonomie,

faîtes-vous accompagner !

Vous êtes confronté à la perte d'autonomie d'un proche et souhaitez vous organiser pour l'accompagner au mieux et faciliter son maintien à domicile ?

iZi Family vous guide, étape par étape, pour gérer sereinement la situation selon le contexte de la personne aidée.

Gestion des papiers, identification des aides possibles, adaptation du logement, gestion des interventions, déclarations, ...
iZi Family soulage et facilite la vie de l'aidé comme de l'aidant.

perte dautonomie

Une assistance pour vous guider et
vous soulager dans toutes vos démarches

Une assistance personnelle pour gérer, étape par étape, les démarches à réaliser

Evaluer la perte d'autonomie

La perte d’autonomie se détecte par différents troubles physiques ou psychiques qui entraînent une incapacité de la personne âgée à effectuer certains actes de la vie courante. 

Les premiers signes peuvent apparaître progressivement comme survenir brutalement suite à une chute, une maladie, la perte d’un proche, …

L’entourage doit alors mettre en place les mesures appropriées selon la nature des troubles rencontrés.

Lorsque la dépendance nécessite l’organisation d’un véritable plan d’aides, la demande d’une Aide Personnalisée d’Autonomie (dossier APA) devient indispensable.

Une évaluation de la perte d’autonomie (GIR) est alors réalisée gratuitement au domicile de la personne âgée.

Mettre en place
une organisation adaptée

Lorsque les premiers signes de perte d’autonomie se font sentir, différents services à la personne (SAP) permettent de venir soulager la personne âgée et son aidant : aide au ménage, au repas, au lever, au coucher, à la toilette, pour le jardin, …

Différents modes d’interventions sont possibles selon que vous souhaitiez établir ou non une relation contractuelle directe avec le(s) intervenant(s) : prestataires, mandataires, salariés en direct. La fréquence d’interventions dépend du degré de dépendance de la personne âgée.

En cas de besoin de soins à domicile, la prescription médicale par un médecin est nécessaire pour leur prise en charge. Une fois la prescription faite, les soins peuvent être réalisés par des infirmiers libéraux ou des structures spécialisées.

Services et soins à domicile sont proposées par des structures privées ou associatives appelées SAAD, SSIAD ou SPASAD : services à domicile seuls, soins infirmiers à domicile seuls ou soins infirmiers associés à des services à domicile, hospitalisation à domicile, …

Une prise en charge des déplacements est également possible (courses, coiffeur, …) pour maintenir le lien social de la personne âgée et limiter son isolement.

Aménager le logement

Les accidents à domicile sont fréquents au-delà de 65 ans et les premières mesures à prendre relèvent la plupart du temps du bon sens : désencombrer les passages, améliorer l’éclairage, sécuriser les zones de cuisson, adapter les points d’eau pour faciliter la toilette et éviter les dérapages, …

Un diagnostic gratuit par un professionnel est proposé par certaines Caisses de retraite pour se faire conseiller dans les aménagements à réaliser.

Vous pouvez obtenir une subvention pour faire des travaux d’adaptation ou aménager la salle de bains et/ou les sanitaires.

Certaines dépenses de travaux d’aménagement peuvent également être prises en charge et il existe des prêts travaux à taux préférentiels selon les moyens de la personne âgée.

Autre mesure de sécurité à étudier, en particulier si la personne âgée vit seule : la mise en place d’un dispositif de téléassistance qui permet d’être alerté rapidement en cas de chute de la personne âgée et de rassurer ainsi l’entourage.

Bénéficier d'aides

Pour compenser la perte d’autonomie et faciliter le maintien à domicile le plus longtemps possible, de nombreuses aides existent : aide à l’autonomie, APA, ASPA, ASIR, …

L’évolution du degré de dépendance de la personne âgée va nécessiter d’engager au fil du temps de nouveaux frais qui vont s’accentuer : fréquences d’intervention des services à domicile (ponctuels ou quotidien), soins infirmiers, équipements, téléassistance, …

Selon la nature des dépenses, différents organismes peuvent intervenir pour financer tout ou partie de ces frais : Conseil départemental, Assurance maladie, Caisses de retraite, Allocations familiales, mutuelle, … 

Les aides possibles sont déterminées par différents critères tels que le degré de perte d’autonomie de la personne âgée, ses ressources, celles de son entourage, son patrimoine, …

Certains placements ou assurances peuvent être débloqués.

Gérer le suivi médical et les frais de santé

Lorsque qu’une personne est âgée, sa santé peut être fragile.

Il est essentiel de s’assurer que sa complémentaire santé saura prendre en charge efficacement ses frais de santé le moment venu : appareillage auditif, optique, prothèse, assistance, hospitalisation, …

Un examen des sommes qui restent à charge, après le remboursement de la Sécurité sociale et de la mutuelle complémentaire, permet de juger si cette dernière est adaptée à la situation et à la nature des dépenses. 

Pour compenser la perte d’autonomie, des équipements (appelés aides techniques) peuvent également être nécessaires : déambulateur, lit médicalisé, fauteuil releveur, lève personne, … 

Selon le matériel concerné, une prise en charge par la Caisse d’Assurance Maladie ou la mutuelle complémentaire peut être obtenue, sur demande et après accord préalable.

En cas de ressources modestes, il est également possible de faire une demande pour bénéficier d’une complémentaire santé gratuite ou à très bas prix.

Enfin, afin de faire respecter les volontés de la personne âgée lorsqu’elle n’est plus en situation de pouvoir le faire, mieux vaut anticiper et lui faire désigner une personne de confiance. 

Cet acte peut s’avérer particulièrement utile pour l’accompagner lors de ses consultations médicales ou guider les médecins pendant un séjour à l’hôpital ou lors d’une entrée en EPHAD.

Gérer les comptes et suivre les dépenses

Gérer les comptes au quotidien peut très rapidement devenir un casse-tête. 

En premier lieu, il est important de connaître tous les comptes bancaires et les contrats d’assurance au nom de la personne aidée.

Pour gérer les comptes bancaires et effectuer des opérations, il est indispensable d’étudier l’ouverture d’un compte commun ou la signature d’une procuration bancaire.

Si un contrat d’assurance dépendance a été souscrit, il faut demander son déblocage pour financer les services liés à la perte d’autonomie.

Pour le suivi des dépenses, il est plus simple de mettre en place des prélèvements pour tous les contrats : abonnements (eau, énergie, télécoms, presse, …), prestations et soins à domicile (aide ménagère, garde d’enfants, auxiliaire de vie), …

Après le recensement de tous les contrats, vérifiez bien que toutes les assurances sont en place (habitation, véhicules, …).

Planifiez ensuite les échéances de paiement, les déclarations à faire, les dates de fin de contrat, les demandes de renouvellement, …

Pour ce qui concerne les déclarations d’impôts, pensez à intégrer tous les frais engagés au titre des services à la personne, des frais d’accueil pour une personne dépendante ou pour des dépenses d’équipement, … pour obtenir le crédit d’impôt.

En cas d’erreur, vous pouvez effectuer une demande de correction de la déclaration de revenus jusqu’à 3 ans après. Selon la situation, une exonération de la taxe foncière pour la résidence principale est également possible.

Protéger la personne fragile

Le moment peut arriver où la personne âgée n’est plus en capacité de gérer seule ses biens et son patrimoine.

Une mesure de protection juridique permet alors de désigner une tierce personne pour l’aider et prendre des décisions avec elle ou à sa place.

Différentes mesures de protection juridique existent avec des niveaux de protection adaptés au degré de vulnérabilité de la personne à protéger : habilitation familiale, tutelle, curatelle, sauvegarde, …

La mesure d’accompagnement peut être anticipée avec la signature d’un mandat de protection future.

Plusieurs personnes peuvent faire la demande d’ouverture d’une mesure de protection : la personne elle-même, un membre de la famille, un proche, un tiers (médecin, procureur de la République, …)

Soulager l'aidant

Etre le « proche aidant » d’une personne âgée, c’est lui apporter une aide régulière pour compenser sa perte d’autonomie.

Cette situation peut être difficile, affectant l’organisation de vie de l’aidant et parfois sa santé.

De nombreux dispositifs existent pour l’accompagner :

  • soutien financier ;
  • formation ;
  • offre de soutien psychologique ;
  • congé de proche aidant ou de solidarité familiale.
 

Pour l’aider à souffler et éviter son épuisement, il existe différentes solutions de répit tel que l’hébergement temporaire du proche aidé ou la mise en place d’une formule d’accueil de jour. 

Vous pouvez solliciter une aide pour prendre en charge une partie des frais d’hébergement.

Pour alléger sa charge mentale, l’aidant peut par exemple réaliser une carte d’urgence pour que, en cas d’accident ou de malaise, les secours soient informés de sa situation d’aidant et ne laissent pas son proche sans aide.

S’il souhaite interrompre ponctuellement son activité professionnelle, il peut lui aussi bénéficier d’aides, d’une couverture sociale et continuer d’enregistrer des droits à l’assurance retraite pour compenser l’impact sur sa retraite.

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Ce qu’en pensent nos utilisateurs ?

Caroline

En situation de crise, on peut perdre des jours à rechercher les papiers de nos parents. C'est un super produit qui apporte beaucoup d'aide.

Claude

Je suis encore bluffé par l'effort de simplification des formalités administratives. J'ai vraiment eu l'impression d'avoir un compagnon pour m'assister. Merci.

Marie

Ce message pour vous remercier de cette idée géniale. C'est bizarre que personne d'autre ne l'ait fait car c'est très utile.

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